L'exc¸s de trafic obligeait les radios a opˇrer trop longtemps et ainsi courir des risques et violer les consignes de sˇcuritˇ. Ces consignes ˇtaient parfois appliquˇes d'autoritˇ par la centrale, obligeant les radios a conserver les tˇlˇs sur eux jusqu'au prochain rendez-vous, ce qui augmentait d'autant les risques. Les radios ne connaissaient en principe pas le contenu des tˇlˇs. Lorsqu'il les a retrouvˇs dans les archives, Maurice de Cheveigne a ete choquˇ de decouvrir la vacuite de certains.
Adc